Pas d'aigreurs. J'ai là un paradis de minitels. Des jets de pixels puissants comme simples vont briser une glace grise de désespoir. L'enivrement s'est enfui, a emporté avec lui l'innocence. Mais un tableau en mer criard et sublimé m'offre saturation. J'accepte l'âme pleine à en déborder. Les solutions se sont échouées sur un pente descendante. L'équation était là, petit cube solide. En le regardant de très, très près je peux voir les noeuds devenir des cordes imbriquées, puis une seule corde. Je peux me laisser étouffer. On n'en meurt pas. Juste, le sang au cerveau. Extase.

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